Polarville, Presses Universitaires de Lyon, 1991
L’idée de départ : pour saisir l’évolution des manières dont la population se représente les villes ou nous vivons, pourquoi ne pas examiner comment une littérature populaire comme le polar exprime (ou reflète) cette évolution ?
Poser ainsi la question me paraissait intéressant en sociologie, et j’ai donc été amusé par les réticences du milieu des chercheurs en sociologie qui, en général, ont déploré que ce travail parle de romans policiers, sans voir qu’il parlait surtout des villes et de leur imaginaire.